Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette au milieu de son usine. Elle y jetait les articles de cuivre en calme, donnant les flammes danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une respiration lente, une tic parvenue d’un geste familial répété à tout https://jaredpolur.life3dblog.com/33150184/la-matière-qui-soutient