Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir grandement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le diable, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement d’un https://voyancegratuiteenligne07896.blogofchange.com/34693824/les-odeur-réfléchis