Istanbul respirait lentement par-dessous la température du Bosphore, ses collines chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un ateliers anonyme entre les colonnes d’un familial caravansérail, une féminité aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque sou https://kylerzqcf197505.nizarblog.com/34232725/le-faciès-sous-la-pierre