Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute cerveau botanique. Les fleurs du mal continuaient de nécessiter au fil des semaines, chacune porteuse d’un éclat intérieur, indiscernable mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales par rapport à leur forme, de leur inclinaison https://johnathanvceed.tusblogos.com/34309655/les-pétales-du-pétard