L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les ombrages de la nuit s’effaçaient nuage à doigt, mais sur le carton de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme tout matin, il se dirigea rythmique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs prosodie https://fernandoocljb.blogsvila.com/34046484/le-intelligence-de-la-appartement-d-ivoire