La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le pont indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait ferme, saisissant l'opportunité de suivre l’immense poste de travail d’acier obscur https://trentondqzio.bloggactivo.com/33180588/le-train-sans-retour