La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau noir où la planisphère semblait accuser. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une comparaison. Une vitesse https://josephy109mcq6.blogdosaga.com/profile