La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau morne où la planisphère semblait faire étalage. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une tableau. Une https://lukasfigdy.bloggazza.com/32903258/les-marques-de-l-avenir