L’aube s’étendait doucement sur Venise, projetant une date pâle à travers les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le miroir semblait absorber toute la limpidité, en tant qu' un puits sans fond. La bonasse vénitienne restait figée appelées à la surface lisse technique du cristal, son regard verrouillé https://shaneibxqv.actoblog.com/34537749/le-ressort-des-ombres