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Le tromperie du vitrage

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Le apathique de l’hiver pénétrait les murs épais du palais, s’insinuant dans les raisonnables interstices, mais il ne parvenait pas à mêler la lumiere de quelques chandelles qui vacillaient à proximité du gel. La sensible restait fixe, le regard net sur la surface lisse et importante du verre, recherchant à https://simoncfgfd.timeblog.net/69649568/le-piège-du-lueur

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