La journée étendait son rideau sur la grande ville, dissimulant les contours des bâtiments par-dessous un drap d’obscurité mouvante. Dans un foyers exigu, aglutiné au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni contemporain ni traditionnel, un aisé matériel aux touches effacées https://charlieztfsb.blogproducer.com/40653560/l-appel-du-destin-et-la-voyance-par-téléphone-audiotel-avec-jolie-voyance