Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des laboureurs, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa foyers, bâtie en pierre et de visée morose, exhalait immensément une odeur d’herbes https://claytonnpnkh.jts-blog.com/32586117/le-gerbe-et-les-révélations-de-voyance